- Bien caler son projet sportif (ambition, objectifs, planification, entrainements…)
- Identifier le nombre d’heures que l’on veut consacrer aux études en dehors de l’entrainement sportif
- Décider de son projet en manageant son énergie : bien connaître ses niveaux d’énergie sur les différentes batteries et savoir identifier les actions pour les recharger
- Mettre du ET au lieu du OU pour trouver la combinaison gagnante entre projet sportif et projet professionnel : le projet sportif nourrit le projet professionnel et l’inverse est vrai
- Prendre le temps pour bien connaître ses aspirations (ce qui me plait, qui me donne de l’énergie)
- Aller explorer un peu d’inconnu pour se conforter dans ses choix
- Savoir parler de sa singularité en tant qu’athlète de haut niveau, assumer ses spécificités et sa non-conformité par rapport aux études
- Dans la phase d’exploration, trouver des alliés bienveillants. Savoir travailler en souterrain pendant un temps. Ne pas être trop bavard dans les phases de réflexion
- Se donner du temps pour identifier son projet professionnel. Parfois jusqu’à neuf mois
- Confronter son projet à la réalité, faire des stages, échanger avec des professionnels
- Sentir qu’on est pilote de son projet, s’appuyer sur des co-pilotes mais décider au final
- Capitaliser sur son expérience de SHN, identifier ses compétences pour les valoriser dans d’autres contextes (ténacité, pouvoir de concentration, combativité, humilité, capacité d’apprentissage, remise en question…)
- Faire un bilan de motivation d’abord, puis développer ses compétences ensuite
- Décider avec enthousiasme sur son projet professionnel ; s’autoriser à ce qu’études ou métier riment avec plaisir
- Etre curieux et rester ouvert, aller chercher des informations
- S’appuyer sur des conseillers, des alliés, des anciens SHN pour décider